Les traductions françaises

des œuvres de

Denys le Chartreux

 

Les œuvres de Denys le Chartreux ont été mainte fois traduites dans les différentes langues européennes, au seizième siècle surtout. Nous ne nous intéresserons cependant ici qu'aux traductions françaises. Vous trouverez ci-dessous une première liste où les œuvres de Denys seront regroupées derrière la bannière de leur traducteur, parmi les plus importants d'entre eux. Les œuvres ayant été traduites au moins deux fois sont traitées à part. Enfin, nous proposons une liste d'ouvrages publiés après 1700, quand Denys alors quelque peu oublié. Après chaque titre en français, le chiffre entre parenthèses renvoie à la liste des écrits de Denys.

 

 

Œuvres de Denys le Chartreux traduites par Dom Jacques Morice

 

* De l’Estroict chemin de salut (De perfecto mundi contemptu) publié à Paris chez G. Chaudière, en 1586, puis repris à Tournay en 1611. Ce volume regroupe différents traités de Denys, recueil factice que les chartreux de Cologne avaient déjà rendu célèbre. Il fut sûrement le plus lu des ouvrages de Denys, que ce soit dans sa version latine ou française. On y trouvait en effet de quoi contenter toutes les âmes, quel que soit le chemin qu’elles avaient pu déjà parcourir. Voici la liste des titres contenus dans cette traduction :

De l’estroict chemin de salut et du contemnement du Monde (n° 124).

Le mirouer des amoureux du monde, Speculum amatorum mundi (faussement attribué à Denys).

Excellent traicté de la griefveté et énormité du péché (n° 122).

Le mirouer ou dialogue de la conversion des Pécheurs (n° 123).

Traicté de la fontaine de lumière et des chemins de la vie (n° 131).

Abbrégé très-utile de la vie spirituelle, intitulé Précordiale (n° 136).

Dialogue de l’usurpation de plusieurs bénéfices (n° 90).

Epistre de Denis le Chartreux à tous Princes Catholiques suivie de Trois Révélations faictes divinement à Denis le Chartreux (n° 150).

 

* De la Munificence et libéralité de Dieu, publié à Paris chez G. Chappelet, en 1588. Le volume regroupe quatre traités, bien moins connus que ceux précédemment édités.

De la Munificence et libéralité de Dieu, contenant ses bien-faits envers les hommes, ses perfections et son amour, et les moyens d’y parvenir, c’est lui qui donne son titre au recueil, (n° 67).

De la perfection divine et humaine et combien elles diffèrent l’une de l’autre (n° 66).

Dialogue de l’amour de Dieu et des moyens d’y parvenir (n° 144).

De l’oraison (n° 140).

 

* Pour sa dernière traduction publiée chez le même éditeur, en 1588, Dom Jacques Morice ne propose qu’un seul traité à ses lecteurs : Le Profit spirituel (n° 137).


 

 

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